La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
La loi n°2021-689 du 31/05/2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, parue au JO du 1er/06/2021, modifie l’ordonnance n°2020-323 du 25/03/2020 portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos, de manière à ce qu’il soit possible, jusqu’au 30/09/2021 :
Elle le peut, mais elle ne suffit pas. La petite histoire :Une entreprise de moins de 50 salariés n’a pas contesté, dans le délai de 15 jours, la désignation, par un syndicat local, d’un salarié en qualité de délégué syndical alors que ce dernier s’était présenté au second tour (sans étiquette syndicale) des dernières élections des